Nus

L’odalisque classique célèbre la femme dans toute sa splendeur. On la connaît immobile, silencieuse et posée dans un écrin feutré. Chez Anton Molnar le nu vit. Il est en mouvement, parfois surpris dans une occupation, une discussion. Le regardeur est invité à contempler ce moment d’intimité par une brèche, une porte entrouverte.